Traducteur : Antoine Pinchot
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[Extrait]
Genre : contemporain, YA
Public : dès 13/14 ans
Nombre de pages : 312
Date de parution : 01/02/2017
Résumé :
« De toute façon, Solomon n'avait jamais besoin de sortir de la maison. Il
avait de la nourriture. Il avait de l'eau. Il pouvait voir les
montagnes depuis la fenêtre de sa chambre. Ses parents étaient si
occupés qu'il organisait sa vie à la maison à sa guise. Jason et Valérie
Reed n'intervenaient pas, parce que finalement céder à leur fils était
la seule solution pour qu'il aille mieux. À L'âge de seize ans, il
n'avait pas quitté le domicile familial depuis trois années, deux mois
et un jour. Il était pâle, assez souvent pieds nus, et allait plutôt
bien. »
Avis :
J'ai passé avec Phobie douce deux jours totalement rassurants, ponctués de rires et d'émotions. Ce n'est pas un roman vif ou intense, qui décrit la solitude ou la maladie comme « pesant ». Au contraire, c'est un récit frais, qui fait du bien, où tout est juste sans en faire trop. Tout reste léger et ponctué d'humour. Pourtant, chaque instant trouve un écho en vous, dans notre coeur, vos tripes, votre estomac, et vous remue jusqu'au plus profond de vous-mêmes. L'avis de Neil Shusterman au sujet de ce roman est on ne peut plus vrai, je le partage même. Et j'espère vous convaincre à mon tour !