Éditeur : Pocket Jeunesse
Traductrice : Catherine Nabokov
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Genre : drame, contemporain, YA
Public : dès 15 ans
Nombre de pages : 601
Date de parution : 15/10/2015
Prix : 18,90€
Résumé :
[SPOILERS - Surlignez pour lire le texte]
« « Tu es le sens de ma vie, la raison de chacun de mes actes. Et je ne changerais ça pour rien au monde. »
Emma commence doucement à réapprendre à vivre aux côtés d'Evan et de Sara. Hantée par des cauchemars terribles, elle décide de donner une seconde chance à sa mère, qui l'a abandonnée, espérant trouver un sens à sa souffrance. Mais elle doit aussi affronter le regard des autres : ceux qui s'en veulent de ne pas l'avoir soutenue, ceux qui la jugent mais aussi ceux qui, surgissant de son passé, ont encore bien des révélations à faire sur sa vie d'avant... »
Emma commence doucement à réapprendre à vivre aux côtés d'Evan et de Sara. Hantée par des cauchemars terribles, elle décide de donner une seconde chance à sa mère, qui l'a abandonnée, espérant trouver un sens à sa souffrance. Mais elle doit aussi affronter le regard des autres : ceux qui s'en veulent de ne pas l'avoir soutenue, ceux qui la jugent mais aussi ceux qui, surgissant de son passé, ont encore bien des révélations à faire sur sa vie d'avant... »
Avis :
Reçu comme cadeau de noël l'année dernière, il me tardait de découvrir Ma raison d'espérer, deuxième tome de la trilogie Ma raison de vivre. Pour autant, j'avoue que j'étais freinée par le ressenti en demi-teinte laissée par Ma raison de vivre et l'épaisseur du roman. Superficielle que je suis... Oui, parce qu'il se lit sans souci ! D'accord, c'est un poids pour vos mains, mais les pages défilent, les chapitres s'enchaînent, et ses 600 pages donnent tout de même l'impression de passer trop vite. J'étais persuadée de mettre quelques jours à en venir à bout... Il m'en a fallu environ deux. En avant pour la chronique - sans spoilers !
Pas de résumé. Pas de spoils.
On parle d'abord de ce qui m'a un peu fait tiquer pour finir par les réjouissances ? En avant ! Sans surprise, j'ai trouvé à Ma raison d'espérer les mêmes petits bémols que j'avais rencontrés avec Ma raison de vivre. Si tout se passe pour le mieux maintenant entre Emma, Evan, Sara et moi, j'ai encore eu quelques soucis avec les longueurs présentes dans le roman et les cents premières pages. Rebecca Donovan met pourtant tout ce qu'il faut, mais les choses étaient longues à démarrer. Par la suite, l'intrigue devient de plus en plus prenante au fil des éléments qui se révèlent, mais quelques chapitres venaient parfois freiner un peu la prise de rythme.
Heureusement, cela ne prend pas le pas sur l'intensité du roman et notre addiction ! À l'image de son prédécesseur, Ma raison d'espérer nous rend tout aussi accro. Ce qui aide à enchaîner les chapitres et voir petit à petit le nombre de pages restantes se réduire. Certains chapitres avaient beau ne pas nous aider à avancer dans l'intrigue, ils donnaient tout de même l'envie de continuer plus, le besoin d'en savoir plus. Et ce deuxième tome propose de lever le voile sur certains mystères d'Emma... Pourquoi est-elle allée vivre chez sa tante ? Quels secrets cachent sa propre famille ? Un programme alléchant et riche en révélations !
Rebecca Donovan quitte ici le sujet de la maltraitance physique pour nous parler de la souffrance psychologique, le mal que l'on est capable de faire aux autres, à soi-même et de celui qu'eux sont capables de nous faire. Un mot, un geste, un souvenir, vous et moi savons qu'Emma a le chic pour enfouir et garder pour elle, se blesser inconsciemment tout en pensant qu'elle mérite ceci ou cela. Et si l'on pense son calvaire terminé, il ne fait finalement que resurgir insidieusement, tel un monstre caché dans l'ombre, à la surface de sa conscience...
Evan et Sara sont toujours présents. Mais je vous le dis tout de suite : Evan a mis cette fois plus de temps à me convaincre... S'il m'a plu dès sa première apparition dans le premier tome, grâce notamment à ce qu'il faisait pour et à Emma, je l'ai trouvé un brin en deçà. Trop lisse, souvent désolé, j'ai trouvé son côté protecteur exaspérant, étouffant. Et Jonathan a fait son apparition. Comme Emma, c'est un personnage qui a des secrets et qui cache ses douleurs, ses vieux démons. On sent le lien qui se créé entre eux, la souffrance qui les rapproche. J'ai aussi trouvé qu'il amenait un plus : un souffle d'interdit et de provocation.
Une fois n'est pas coutume, Rebecca Donovan nous offre un final saisissant ! Tellement saisissant qu'Anne-So et moi nous sommes ruées sur la suite pour en découvrir plus... La fin est riche en tension et en action. Des faits prennent plus de sens, des personnages plus de charisme. On ne regrette pas d'être venue au bout du récit, d'avoir continué. On le referme avec de nouvelles interrogations, de nouveaux projets pour la suite. Et beaucoup d'impatience !
Heureusement, cela ne prend pas le pas sur l'intensité du roman et notre addiction ! À l'image de son prédécesseur, Ma raison d'espérer nous rend tout aussi accro. Ce qui aide à enchaîner les chapitres et voir petit à petit le nombre de pages restantes se réduire. Certains chapitres avaient beau ne pas nous aider à avancer dans l'intrigue, ils donnaient tout de même l'envie de continuer plus, le besoin d'en savoir plus. Et ce deuxième tome propose de lever le voile sur certains mystères d'Emma... Pourquoi est-elle allée vivre chez sa tante ? Quels secrets cachent sa propre famille ? Un programme alléchant et riche en révélations !
Rebecca Donovan quitte ici le sujet de la maltraitance physique pour nous parler de la souffrance psychologique, le mal que l'on est capable de faire aux autres, à soi-même et de celui qu'eux sont capables de nous faire. Un mot, un geste, un souvenir, vous et moi savons qu'Emma a le chic pour enfouir et garder pour elle, se blesser inconsciemment tout en pensant qu'elle mérite ceci ou cela. Et si l'on pense son calvaire terminé, il ne fait finalement que resurgir insidieusement, tel un monstre caché dans l'ombre, à la surface de sa conscience...
Evan et Sara sont toujours présents. Mais je vous le dis tout de suite : Evan a mis cette fois plus de temps à me convaincre... S'il m'a plu dès sa première apparition dans le premier tome, grâce notamment à ce qu'il faisait pour et à Emma, je l'ai trouvé un brin en deçà. Trop lisse, souvent désolé, j'ai trouvé son côté protecteur exaspérant, étouffant. Et Jonathan a fait son apparition. Comme Emma, c'est un personnage qui a des secrets et qui cache ses douleurs, ses vieux démons. On sent le lien qui se créé entre eux, la souffrance qui les rapproche. J'ai aussi trouvé qu'il amenait un plus : un souffle d'interdit et de provocation.
Une fois n'est pas coutume, Rebecca Donovan nous offre un final saisissant ! Tellement saisissant qu'Anne-So et moi nous sommes ruées sur la suite pour en découvrir plus... La fin est riche en tension et en action. Des faits prennent plus de sens, des personnages plus de charisme. On ne regrette pas d'être venue au bout du récit, d'avoir continué. On le referme avec de nouvelles interrogations, de nouveaux projets pour la suite. Et beaucoup d'impatience !
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Ma raison d'espérer de Rebecca Donovan est un deuxième tome réussi ! Si je reste chagrinée par quelques longueurs, qui freinent parfois le rythme du roman, j'ai passé un excellent moment en compagnie d'Emma, Evan et Sara [et Anne-Sochou ♥]. La plume de Rebecca Donovan est toujours aussi vive, toujours aussi juste. Emma reste quant à elle un personnage marquant et marquée par son passé et par ce qu'elle ne connaît pas encore. J'ai apprécié l'apparition de nouveaux personnages secondaires et les révélations fournies par l'auteur.
Un tome qui continue de nous rendre accro, de nous faire autant de bien que de mal...
Il va vraiment falloir que je lise cette trilogie ^^
RépondreSupprimerJ'savais pas si tu le chroniquerais. Moi j'ai le flemme mais GRAVEEEEEE mais je suis d'accord avec tout ce que tu dis <3
RépondreSupprimerPersonnellement, je n'avais pas aimé cette série! J'ai trouvé les personnages un peu fades, et je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire :(
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